A l’origine de L’empreinte des plantes existe une histoire personnelle, un cheminement intérieur, une soif de curiosité, de liberté, et une envie de partager. Si cette histoire ne vous intéresse pas mais que vous souhaitez en savoir plus sur mon parcours et mes qualifications, c’est par ici.
L’histoire trouve ses racines dans mon enfance, tout au long de laquelle les médecines naturelles et les thérapies préventives sont privilégiées pour prendre soin de ma santé.
Jeune adulte en devenir, je me dirige vers des études en sciences pharmaceutiques à l’université de Strasbourg pour la diversité des enseignements et des débouchés proposés, ainsi que pour l’approche de soin à la personne et d’éducation à la santé inhérents au métier. Pour vous rendre compte de cette multiplicité, voici quelques domaines abordés au cours de ces études : la chimie organique et analytique, la génétique, la biologie cellulaire et moléculaire, l’anatomie, la physiologie et la physiopathologie, la biochimie, la pharmacologie et la galénique, la virologie, la bactériologie, la parasitologie, l’immunologie, la toxicologie… mais aussi la botanique, la mycologie, la phytothérapie, l’aromathérapie, la zoologie, la pharmacognosie…
Ces études – fort enrichissantes – ne répondent pas à ma vocation profonde, mais mettent en lumière une dissonance, un décalage, entre la pratique professionnelle qui se profile être la mienne, et mes valeurs, ma sensibilité, et mes intérêts profonds. Ceux-ci ont rapport avec l’importance et le respect des savoirs traditionnels, les enjeux sanitaires et écologiques actuels, la volonté de soigner en respectant le corps humain, l’individu et l’environnement, et en privilégiant une approche préventive plutôt que curative. Elles révèlent également les prémices de ce qui devient une passion : la santé et le bien-être par les plantes. J’en fais d’ailleurs le sujet de ma thèse de doctorat.
Le métier de pharmacien dans le cadre de l’officine, tel que je le conçois et l’expérimente alors, ne me permet pas de m’épanouir pleinement, et de donner à ma pratique la dimension et le sens que je lui souhaite. Diplôme en poche, je décide donc de trouver un moyen d’assouvir et de mettre en pratique cet intérêt grandissant tout en valorisant mon parcours et mes connaissances scientifiques.
Dans le même temps, je questionne et remet également en cause bon nombre d’aspects de ma vie personnelle, en m’informant et en me sensibilisant aux enjeux écologiques et à la façon de réduire l’impact environnemental de mon mode de vie.